Agents de la paix en services correctionnels : occupation et blocage de bureaux gouvernementaux à Québec et à Montréal


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Les agentes et agents de la paix en services correctionnels du Québec ont bloqué mercredi les locaux du Conseil du trésor à Québec et occupé les bureaux du ministre Coiteux à Montréal afin d’accentuer la pression sur le gouvernement dans le cadre des négociations en vue du renouvellement de leur convention collective. Par cette action, les membres du Syndicat des agents de la paix en services correctionnels du Québec–CSN entendent dénoncer les récentes offres de l’employeur. Alors qu’ils sont sans contrat de travail depuis le 1er avril 2015, les négociations achoppent sur quatre enjeux majeurs pour le SAPSCQ–CSN, soit la formation obligatoire des agentes et agents, les offres salariales, le régime de retraite et le retour de la précarité pour les salarié-es à temps partiel.

Négociation entre Québec et les agents de la paix en services correctionnels : opération de visibilité auprès de la population


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Le Syndicat des agents de la paix en services correctionnels du Québec (SAPSCQ–CSN) a décidé de lancer une importante opération de visibilité afin de dénoncer le laisser-aller du gouvernement en matière de sécurité publique. Le syndicat utilisera divers moyens afin de dénoncer les lacunes du système correctionnel du Québec et les mauvaises conditions dans lesquelles s’exerce le travail des agentes et agents de la paix. Sans contrat de travail depuis plus de 18 mois, les membres du SAPSCQ–CSN comptent multiplier les démarches de visibilité et les moyens de pression au cours des prochaines semaines, afin de faire avancer les négociations actuelles.

Fermeture de la Maison Tanguay : un choix incompréhensible dans un contexte de surpopulation


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C’est avec étonnement que le Syndicat des agents de la paix en services correctionnels du Québec a appris la décision du Ministère de la Sécurité publique de fermer l’établissement de détention Maison Tanguay (EDMT) et de transférer les détenues à l’établissement de détention Leclerc de Laval (EDLL), surtout dans le contexte de surpopulation carcérale qui existe depuis plusieurs années et ne cesse de s’amplifier.

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