Personnaliser les préférences en matière de consentement

Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.

Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ... 

Toujours actif

Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.

Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.

Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.

Aucun cookie à afficher.

Projet de loi sur la taxation scolaire : une solution beaucoup trop coûteuse, selon la CSQ


Classé dans : Monde syndical | 0

À l’occasion des consultations sur le projet de loi no 166 portant sur la réforme du régime de taxation scolaire, la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) réitère que ce projet de loi électoraliste constitue une mauvaise solution pour corriger un problème réel. La CSQ rejette donc la réforme proposée par le gouvernement, principalement parce qu’il s’agit d’une solution beaucoup trop coûteuse pour régler le problème d’équité entre les commissions scolaires francophones et anglophones présentes sur un même territoire. «Avec sa proposition, le gouvernement fait le choix de se priver de 670 millions de revenus. Cela n’a aucun sens! On ne fait pas de l’éducation une priorité nationale en réduisant les ressources disponibles pour le réseau!»