Personnaliser les préférences en matière de consentement

Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.

Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ... 

Toujours actif

Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.

Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.

Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.

Aucun cookie à afficher.

Le manque de médecins pèse de plus en plus dans Hochelaga


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Alors qu’un des six seuls omnipraticiens pratiquant à Hochelaga prendra sa retraite en janvier, la relève médicale snobe toujours le quartier. Si bien que certains craignent qu’une des deux seules cliniques du quartier ne ferme ses portes. «Si un docteur tombe malade et qu’on n’a pas de nouveau médecin, il y a un risque que ça ferme. Les médecins de famille sont épuisés», se désole le Dr Nabil Salem, chirurgien affilié à la Clinique médicale Joliette, où il y a actuellement quatre médecins de famille, dont deux âgés de plus de 75 ans. L’un d’eux prendra d’ailleurs sa retraite à la fin décembre.