«Pas question de se laisser appauvrir davantage», martèle la présidente de la CSQ


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La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) considère les offres du Conseil du trésor dans la négociation du secteur public comme un affront à l’ensemble des travailleuses et travailleurs de l’État. «Est-ce parce que nous sommes à 75% des femmes que le gouvernement Couillard se permet de nous appauvrir davantage ?» s’interroge la présidente de la CSQ, Louise Chabot.

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Rentrée parlementaire : un changement de cap s’impose


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À l’occasion de la rentrée parlementaire, Louise Chabot, présidente de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), souhaite fortement que le gouvernement Couillard change de cap dans les politiques qu’il entend mettre de l’avant. «Depuis son arrivée au pouvoir, le Parti libéral du Québec s’active à détruire le modèle québécois. Il y va de grands chambardements sans vraiment consulter ni écouter. Il doit absolument profiter de cette rentrée pour modifier ses façons de faire et convenir que la société civile a son mot à dire sur les politiques qu’il veut imposer. Sinon, il va tout droit vers une confrontation sociale», martèle la présidente de la Centrale.

Bilan de la CSQ du gouvernement Couillard : Le mensonge érigé en argument politique


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La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) remarque que le gouvernement Couillard n’aura pris que huit mois pour miner la confiance de la population envers la démocratie. «Jamais un gouvernement n’aura abaissé la politique à un niveau aussi bas au Québec. Depuis son arrivée au pouvoir, les mensonges se multiplient. Il a menti en campagne électorale en reniant ses engagements une fois élu. Il continue de mentir quant à l’état réel des finances publiques. Il ment encore quand il affirme que les compressions n’affecteront pas les services à la population. Il semble que le mensonge soit devenu son principal argument politique», martèle Louise Chabot, présidente de la CSQ.

Mise à jour économique : les Québécois continuent à écoper et les entreprises s’en tirent bien


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Le gouvernement libéral tente de nous faire croire dans sa mise à jour économique la fin des bouleversements alors que nous n’avons encore rien vu, dénonce le président de la CSN Jacques Létourneau. «Les véritables conséquences des mesures d’austérité se feront sentir lourdement dans les mois qui viennent.» Il condamne aussi les mesures anti-travailleurs présentées mardi. La FTQ déplore le manque d’imagination de l’exercice comptable du gouvernement Couillard. «Le gouvernement aurait dû demander des efforts supplémentaires aux entreprises», affirme le président de la FTQ, Daniel Boyer. «Encore une fois, ce sont les travailleuses et travailleurs qui écopent alors que les entreprises et les banques sont à peine effleurées dans leur portefeuille», constate pour sa part la présidente de la CSQ, Louise Chabot.

Internationale de l’éducation : Daniel B. Lafrenière est élu au Bureau exécutif


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La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) se réjouit de l’élection de son secrétaire-trésorier, Daniel B. Lafrenière, au Bureau exécutif de l’Internationale de l’éducation (IE). «C’est la première fois qu’un employé de soutien scolaire est élu au Bureau exécutif de l’IE. Nous sommes très heureux de l’élection de Daniel B. Lafrenière, qui milite avec conviction au sein de notre Centrale depuis plusieurs années pour la reconnaissance du personnel de l’éducation, toutes catégories confondues, et pour le droit fondamental que représente l’accès à l’éducation», souligne Louise Chabot, présidente de la CSQ.

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La prospérité passe par l’éducation, dit la CSQ


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« Si on renforce l’éducation, on renforce la prospérité », croit Louise Chabot, présidente de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ). Cette dernière se lançait dimanche dans la campagne électorale, sans toutefois appuyer aucun des partis en lice. La CSQ déplore qu’on parle si peu d’éducation depuis le début de l’exercice et que, sur presque tous les thèmes qui sont abordés, les candidates et candidats ne parlent que de compressions des dépenses. La CSQ a par ailleurs noté qu’on n’entend à peu près pas parler de suivi à la suite du Sommet sur l’enseignement supérieur convoqué par le gouvernement Marois en février 2013.