Laurence Brière est coresponsable du colloque Et si la recherche scientifique ne pouvait pas être neutre!
Le modèle positiviste, qui présente la science comme l’étude objective de la réalité, est prédominant dans le système de production des connaissances. Selon ce modèle, la neutralité du processus de recherche et des chercheurs est nécessaire pour garantir la scientificité, voire la vérité, d’une connaissance. «Bien que relativement ancien, le débat sur la neutralité de la science demeure d’actualité et contribue à éclairer plusieurs controverses publiques», souligne Laurence Brière, chargée de cours à l’Institut des sciences de l’environnement et coresponsable du colloque Et si la recherche scientifique ne pouvait pas être neutre! (ACFAS, 10-11-12 mai), peut-on lire sur Actualités UQAM.