Personnaliser les préférences en matière de consentement

Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.

Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ... 

Toujours actif

Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.

Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.

Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.

Aucun cookie à afficher.

Le spectre d’une annulation de session pour 24 collèges ontariens


Classé dans : Monde syndical | 0

Au moment où les 13 000 professeurs, instructeurs, conseillers et bibliothécaires du Syndicat des employés de la fonction publique de l’Ontario (SEFPO) sont au cœur d’une deuxième semaine de grève dans 24 collèges de la province, la porte-parole du SEFPO évoque la possibilité d’une annulation de session si le conflit se prolonge. Lors du dernier conflit, en 2006, ce sont trois semaines de cours qui avaient été perdues. Si le conflit perdure au-delà de ce délai, Mona Chevalier, porte-parole du SEFPO, pense qu’il sera difficile de préserver la session dans son cadre actuel et peu probable qu’elle se termine comme prévu en décembre.