Front commun réclamé devant la hausse des frais d’abonnement aux revues savantes


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L’Association des bibliothèques de recherche du Canada (ABRC) souhaite que les universités renégocient les ententes non viables avec les éditeurs et fassent la transition vers le libre accès. Depuis des années, les bibliothèques universitaires font des pieds et des mains pour absorber la hausse des frais d’abonnement aux revues savantes fixés par une poignée de grands éditeurs internationaux. La situation est devenue insoutenable, selon l’ABRC, qui vient de publier un mémoire en collaboration avec le Réseau canadien de documentation pour la recherche (RCDR) pour renseigner les administrateurs universitaires et proposer des solutions.

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Entre vous et moi


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Son auteur étant de retour d’un congé parental, l’infolettre du SCCUQ reprend sa parution hebdomadaire. Entre vous et moi, un petit amène de nouvelles préoccupations. Les frais de garderie seront plus élevés que prévu. Et lorsqu’il ira à l’école, il y aura plus de camarades dans sa classe. Il semblerait qu’en augmentant le nombre de personnes dans une pièce ça diminue les coûts de chauffage. Sans parler que s’il tombe malade, il aura affaire à du personnel plus stressé et fatigué. À l’UQAM, je devrai revoir mon plan de cours parce qu’on m’a coupé un adjoint, le repas à la cafétéria a substantiellement augmenté et les heures de bibliothèque ont diminué.

PSOC : Le taux d’indexation des subventions ne permettra pas de couvrir la hausse des frais


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Les organismes communautaires québécois œuvrant en santé et services sociaux, réunis sous la campagne Je tiens à ma communauté Je soutiens le communautaire dénoncent le faible taux d’indexation de 1% que leur accordera cette année le ministère de la Santé et des Services sociaux. Contrairement aux années précédentes, le taux accordé est en-dessous de l’inflation. «Disons les choses clairement, il s’agit d’une mesure d’austérité puisque ce 1% d’indexation ne permet pas aux organismes de couvrir la hausse des frais qu’ils doivent assumer. Ils s’appauvrissent en plus d’être déjà éprouvés par un sous-financement chronique», affirme Mercédez Roberge, co-porte-parole de la campagne.

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