Une chercheuse de l’UQAM forcée par la justice de révéler l’identité de ses sources
Une entreprise a obtenu une ordonnance de la cour afin de contraindre la chercheuse Marie-Ève Maillé à lui révéler les noms des participants à une étude qui fait état de la détérioration du climat social dans les communautés où son parc éolien a été construit. Cette première juridique inquiète la communauté scientifique canadienne, qui estime que la démarche de l’entreprise Éoliennes de l’Érable à l’endroit de cette professeure associée de l’UQAM pourrait porter atteinte à la confidentialité des sources universitaires, risquant du coup de freiner la participation des citoyens aux recherches canadiennes.
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L’UQAM a pris la décision d’intervenir dans les procédures judiciaires.