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Plus de trois Français sur cinq ont dit ne pas vouloir que Macron ait une majorité absolue au parlement souligne Julien Tourreille


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Malgré la majorité forte avec laquelle Emmanuel Macron a remporté le deuxième tour de l’élection présidentielle française, le nouveau président de la République est loin de faire l’unanimité chez ses compatriotes. En effet, on estime que près d’un électeur sur deux a voté pour lui afin de bloquer Marine Le Pen et non par conviction. «Dans son second discours, il a dit qu’il serait combatif pour obtenir cette majorité, note Julien Tourreille, chargé de cours et chercheur à la Chaire Raoul-Dandurand. Toutefois, les autres partis ne l’entendent pas de cette façon; ils veulent prendre leur revanche aux législatives.

Julien Tourreille commente le premier tour des élections présidentielles françaises


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«Cette fois, les sondeurs ont vu juste», souligne en riant Julien Tourreille, chargé de cours au Département de science politique et chercheur en résidence à la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques. Comme prévu, le candidat centriste pro-européen Emmanuel Macron (24%) et la candidate du Front national Marine Le Pen (21,3%) sont effectivement sortis gagnants du premier tour des élections présidentielles françaises. Les deux candidats s’affronteront lors du deuxième tour, qui aura lieu le 7 mai. Avec un président socialiste présentant une cote de popularité abyssale, le candidat du parti Les Républicains, François Fillon, aurait pourtant dû l’emporter facilement, estime Julien Tourreille.

Julien Tourreille discute du premier débat télévisuel à cinq dans l’histoire politique française


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À un mois du premier tour, les principaux candidats – François Fillon, Benoît Hamon, Marine Le Pen, Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon – s’affrontaient lundi soir dans un débat télévisuel à cinq. Le chargé de cours Julien Tourreille, de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques a discuté de cette première dans l’histoire politique de l’Hexagone à Dessine-moi un dimanche à l’antenne de Radio-Canada.

France : la modernité ne passe pas par le clientélisme et l’inégalité de traitement


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Les intentions affichées par le ministre français de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique, Emmanuel Macron, sur la question des ouvertures dominicales et des «heures en soirée» semblent en décalage total avec les attentes de l’ensemble du monde salarial. Pour la CFDT, le projet annoncé est loin de moderniser l’économie. Il risque de renforcer le clientélisme politique, de pénaliser les salariés des petites entreprises et d’introduire et de renforcer des inégalités territoriales.

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