Québec mal outillé pour contrer les écoles clandestines, admet Proulx
Le gouvernement «a très peu d’outils» pour empêcher des enfants de fréquenter des écoles clandestines comme celle où la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) est intervenue mercredi à Montréal, a reconnu le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx. «Un élève, un enfant qui n’a pas de code permanent, n’existe pas au ministère de l’Éducation, a reconnu le ministre Proulx. C’est une réalité.»
Lire la suite du texte de La Presse.