Compressions universitaires : nous ne pouvons rester silencieux
Monsieur le premier ministre, votre gouvernement a choisi d’exiger des compressions budgétaires de tous, fonction publique, commissions scolaires, services de santé, médecins et système universitaire. Nous, les doyens et les doyennes de l’Université du Québec à Montréal, sommes très fortement préoccupés des conséquences immédiates et à long terme de ces nouvelles séries de compressions qui s’annoncent, notamment pour le système universitaire québécois. Comment sommes-nous passés d’une situation consensuelle d’un besoin de réinvestissement à une série de compressions répétées si importantes que les plus récentes à elles seules représentent l’équivalent de la fermeture complète d’une université québécoise de taille moyenne ?
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