Jean-Philippe Fauteux reçoit le prix René-Jodoin pour sa contribution au cinéma d’animation


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Chargé de cours à l’École de design depuis 1995, Jean-Philippe Fauteux est un artisan du monde de l’animation. De nature modeste, il a souvent travaillé dans l’ombre. N’empêche, les Sommets du cinéma d’animation et la Cinémathèque québécoise lui ont décerné, le 25 novembre dernier, le prix René-Jodoin 2017. Cette distinction, qui porte le nom du fondateur du studio d’animation du Programme français de l’Office national du film (ONF), lui a été remise lors du Festival international des Sommets du cinéma d’animation de Montréal. Elle récompense, depuis 2015, une personnalité marquante, influente et engagée de l’art de l’animation au Canada, peut-on lire sur Actualités UQAM.

Cinémathèque québécoise : une convention collective majeure est signée


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Le Syndicat des employé(e)s de la Cinémathèque québécoise (STCQ-CSN) vient de conclure une entente importante avec la direction de l’établissement. Ce nouveau contrat de travail devrait permettre à la Cinémathèque, d’une part, de maintenir en ses rangs l’expertise qui fait sa renommée et d’autre part, de mieux cerner ses dépenses liées à la masse salariale. Le tout dans l’objectif de démontrer des pratiques responsables de gestion afin de préparer le terrain aux discussions touchant au financement, qui auront lieu avec les partenaires gouvernementaux. La nouvelle convention, d’une durée de quatre ans, a été signée à la mi-octobre. Elle prévoit des augmentations salariales de 9,5% réparties ainsi: 2.5% la première année, 2% pour les deux années suivantes et finalement, 3% pour la dernière année.

Incertitude à la Cinémathèque québécoise : l’histoire du cinéma en jeu


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Plus que jamais, l’avenir de la Cinémathèque québécoise est sombre et incertain. Non seulement souffre-t-elle d’un sous-financement chronique depuis plus de 20 ans, mais voilà que le gouvernement libéral envisage de fusionner la Cinémathèque à Bibliothèque et archives nationales du Québec (BANQ), une idée qui entraînerait des mises à pied et une importante perte d’expertise dans le domaine cinématographique. «Ce gouvernement semble obsédé par les fusions tous azimuts. Sous prétexte de vouloir réaliser des économies de bouts de chandelle, cette hypothétique fusion entre la Cinémathèque et la BANQ menace sa mission même», soutient Pascale St-Onge, secrétaire générale de la Fédération nationale des communications (FNC-CSN).