Printemps érable : freiner les «avocasseries»


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Cinq ans après le Printemps érable, une juge de la Cour supérieure prévient la Ville de Gatineau et les procureurs des «carrés rouges» d’éviter les «avocasseries» pour mieux faire avancer le débat judiciaire, toujours en cours, sur les arrestations massives d’avril 2012. À la suite des arrestations de 187 manifestants sur la promenade du Lac-des-Fées, le 18 avril 2012, un enseignant du Cégep de l’Outaouais, Simon Lespérance, a déposé une demande de recours collectif contre la Ville de Gatineau. Suzanne Bilodeau, manifestante et mère d’un étudiant impliqué dans le mouvement, en a fait de même pour l’arrestation et la détention d’environ 150 personnes à la cafétéria du pavillon Brault de l’Université du Québec en Outaouais (UQO), le 19 avril 2012.

Droits de scolarité : une étude donne raison aux carrés rouges


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Une nouvelle étude déboulonne la « croyance » de certains commentateurs et donne raison aux « carrés rouges » : les droits de scolarité élevés réduisent bel et bien l’accès aux études universitaires. C’est du moins la conclusion que tire un groupe de chercheurs dirigés par Pierre Doray, professeur de sociologie de l’UQAM, après avoir analysé sur une longue période (1946-2011) l’effet des fluctuations des droits de scolarité sur différentes catégories d’étudiants en Ontario et au Québec.

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Carrés rouges et casseroles dans une manifestation étudiante en Saskatchewan


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Des centaines d’étudiants, de diplômés et de professeurs de l’Université de la Saskatchewan ont organisé une bruyante manifestation, mardi, pour réclamer la démission de la présidente de l’établissement. La manifestation est survenue en pleine controverse sur les compressions budgétaires, et après le congédiement d’un professeur titulaire qui avait dénoncé les réformes. Les manifestants, qui arboraient de petits carrés rouges en feutre rappelant la grève étudiante de 2012 au Québec, ont tapé sur des chaudrons et des casseroles en défilant à travers le campus, jusqu’à leur arrivée devant le bureau de la présidente, Ilene Busch-Vishniac.

Lire la suite du texte de la Presse canadienne.