Personnaliser les préférences en matière de consentement

Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.

Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ... 

Toujours actif

Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.

Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.

Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.

Aucun cookie à afficher.

Bishop’s est désavantagée par la structure de financement, dit son principal


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Le principal de l’Université Bishop’s, Michael Goldbloom, estime que l’actuel modèle de financement des universités favorise davantage les «universités de masse» plutôt que celles «de taille humaine» comme Bishop’s qui compte 2300 étudiants à temps plein.

Lire la suite du texte de La Tribune.

Accueil d’étudiants réfugiés syriens : les universités francophones à la traîne


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Depuis la rentrée scolaire, au moins 18 universités anglophones au Canada, dont McGill, Concordia et Bishop’s, ont lancé des initiatives pour accueillir des étudiants syriens dans la foulée de la crise mondiale des réfugiés. Aucun programme similaire n’a cependant encore été mis de l’avant dans les établissements francophones.

Lire la suite du reportage sur radio-canada.ca

Plus d’étudiants à temps plein, mais moins de revenus à Bishop’s


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

L’Université Bishop’s enregistre une hausse de 15% de ses nouveaux étudiants à temps plein par rapport à l’an passé. Or, Bishop’s se retrouve avec 500 000$ de moins que ce qu’elle avait anticipé. L’institution est financée en fonction du nombre de crédits pris par les étudiants, et ceux-ci en prennent moins que ce que prévoyait l’institution.

Lire la suite du texte de La Tribune.

Changements climatiques : Bishop’s et l’Université de Sherbrooke s’allient


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Grâce à un nouveau partenariat avec le Centre universitaire de formation en environnement et développement durable (CUFE) de l’Université de Sherbrooke, l’Université Bishop’s deviendra la première au Québec à offrir un microprogramme de cycle supérieur sur les sciences des changements climatiques en anglais.

Lire la suite du texte de La Tribune.

Le recteur de Bishop’s renonce à 50% de son indemnité


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Le principal de l’Université Bishop’s, Michael Goldbloom, renoncera à la moitié de son indemnité de départ de plus 620 000 $ sur laquelle il devait mettre la main à la fin de son second mandat à la tête de l’université des Cantons-de-l’Est, en 2018. Même s’il a réitéré mercredi avoir droit à cette indemnité de deux ans en vertu de son contrat d’embauche, il a jugé qu’il lui fallait s’en passer dans le contexte des présentes négociations budgétaires avec le gouvernement Couillard, rapporte Le Devoir. La semaine dernière, le ministre de l’Enseignement supérieur, François Blais, n’avait pas exclu d’intervenir afin d’éliminer cette indemnité, qui correspond à deux années de salaire, allocations et avantages compris.