Six universitaires autochtones partagent leurs réflexions entourant le 150e


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La confédération a été décrite comme un moment décisif, pour le pire, dans la vie des Premières Nations, des Inuits et des Métis du Canada. Le fait que les droits accordés aux Autochtones lors de la proclamation royale britannique de 1763 et que les traités subséquents n’aient pas été respectés est bien documenté. Le bien-être des Autochtones ainsi que la vitalité de leurs cultures et de leurs langues se sont fortement détériorés, en particulier après l’adoption de la Loi sur les Indiens de 1876. La Commission de vérité et réconciliation (CVR) du Canada affirme que «la réconciliation nationale est le cadre le plus approprié pour orienter la commémoration» du 150e anniversaire de la Confédération. À son avis, il s’agit d’«une occasion pour les Canadiens de faire le point sur leur passé, et de célébrer les réalisations du pays sans se dérober à la responsabilité de ses échecs». Voici les réflexions de six chercheurs autochtones dans des universités canadiennes qui nous font découvrir leur vision d’un «Canada réconcilié».

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