La question de l’avenir des sciences sociales revient périodiquement comme une interrogation sur nous-mêmes et sur nos sociétés. Aux États-Unis, l’American Academy of Arts and Sciences publiait, en 2013, un important plaidoyer en faveur des sciences sociales et humaines, des arts et des lettres. On s’y inquiète des compressions imposées au secteur des «Humanities», en tant que champ de connaissance. En France, une importante mobilisation autour de l’avenir des sciences sociales et humaines a conduit à la création de l’Alliance Athéna, un collectif voué à la défense et à la promotion de ces sciences destinées à l’étude de la «constitution de l’humain et du fonctionnement du monde social».
Lire la suite de la lettre de Pierre Noreau et Guy Rocher publiée dans Le Devoir.