Hier (le 9 mai), le PDG du Conseil du patronat du Québec (CPQ), Yves-Thomas Dorval, se faisait le défenseur de la démocratie et de la transparence syndicales. Il recommandait notamment de maintenir le vote au scrutin obligatoire pour le processus d’accréditation au niveau fédéral, de forcer la divulgation des états financiers des syndicats et de limiter l’utilisation des cotisations syndicales. Dans les faits, ces mesures visent d’abord et avant tout à affaiblir le mouvement syndical et non à favoriser la démocratie ou la transparence financière.
Lire la suite de la lettre d’opinion de Daniel Boyer, président de la FTQ, parue dans La Presse+ le 10 mai.
IRIS : Ni transparence ni démocratie : il s’agit d’affaiblir le mouvement syndical.