À la veille du dépôt du rapport annuel du Protecteur du citoyen, les employés de l’organisme représentés par le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) ont dénoncé mercredi l’absence de mandat permettant à l’employeur d’offrir une véritable négociation. Sans convention collective depuis mars 2015, les 73 professionnels du Protecteur du citoyen demandent à ce que les négociations avancent. Les syndiqués exigent que la spécificité de leur travail soit reconnue dans un premier contrat de travail vraiment négocié. Cette reconnaissance devrait avoir un impact direct sur leur rémunération.