La promesse du chef libéral Justin Trudeau d’accueillir 25 000 réfugiés syriens d’ici janvier 2016 sera difficile à tenir, soutient un expert. «Pour accueillir autant de réfugiés provenant d’un conflit en particulier, il faut absolument des agents d’Immigration Canada sur le terrain qui travaillent avec le Haut-Commissariat des Nations unies, explique Olivier Arvisais, chargé de cours à l’UQAM et spécialiste des problématiques relatives aux réfugiés. Mais ces mécanismes-là ont disparu depuis longtemps.»
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