Une série de Netflix dédiée à la corruption au sein des grandes entreprises, Dirty money, s’est intéressée à l’industrie québécoise du sirop d’érable. Les producteurs ont construit l’un des six épisodes de la première saison autour du fameux braquage de sirop d’érable au Québec en 2012. C’est ainsi que la Fédération des producteurs acéricoles du Québec (FPAQ) s’est étrangement retrouvée aux côtés de la banque HSBC pointée du doigt pour ses liens avec le Cartel de Sinaloa, de Volkswagen pour le scandale des émissions polluantes et de Donald Trump pour l’ensemble de son œuvre. Et le résultat n’est pas convaincant du tout. «Sans ses huskies, l’homme est ici perdu dans un silence étourdissant». On pensait que seuls des Français étaient capables de faire des topos aussi exotiques sur le Québec. Eh bien non: la série Dirty Money de Netflix nous apprend que le sirop d’érable coule ici dans nos veines et que «l’or blond» est notre trésor national comme le baseball aux États-Unis.
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