Netflix et le sirop d’érable québécois


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Une série de Netflix dédiée à la corruption au sein des grandes entreprises, Dirty money, s’est intéressée à l’industrie québécoise du sirop d’érable. Les producteurs ont construit l’un des six épisodes de la première saison autour du fameux braquage de sirop d’érable au Québec en 2012. C’est ainsi que la Fédération des producteurs acéricoles du Québec (FPAQ) s’est étrangement retrouvée aux côtés de la banque HSBC pointée du doigt pour ses liens avec le Cartel de Sinaloa, de Volkswagen pour le scandale des émissions polluantes et de Donald Trump pour l’ensemble de son œuvre. Et le résultat n’est pas convaincant du tout.

Ne pas taxer Netflix et les autres : une décision dont le gouvernement ne connaît pas le coût


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La Coalition pour la culture et les médias estime inconcevable que le gouvernement Trudeau – qui martèle depuis des mois qu’il n’est pas question de taxer Netflix – ignore à quelle hauteur se chiffrent les pertes de revenu encourues par l’absence de taxation dans le commerce électronique provenant de l’étranger. La Coalition a été surprise d’apprendre, dans La Presse, que le gouvernement n’a pas encore en sa possession de données financières sur le montant qu’il perd annuellement avec sa décision de ne pas percevoir des taxes sur un produit comme Netflix ou sur des plateformes de commerce en ligne comme Amazon.

Bilan et perspectives 2017-2018 : la FTQ toujours là pour les plus démunis et la classe moyenne


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À l’heure des bilans, la FTQ a clairement été au cœur des avancées sociales et de la mobilisation de la société civile avec ses campagnes sur la bonification du Régime de rentes du Québec, sur la hausse du salaire minimum à 15$ l’heure et sur l’abolition des clauses de disparité de traitement, jouant son rôle de protecteur du filet social québécois à la défense des personnes plus démunies de la société. Jetant un regard plutôt critique sur l’année 2017, la FTQ se félicite du fait que le gouvernement ait finalement donné raison à la campagne de la FTQ pour bonifier le Régime de rentes du Québec.

Politique culturelle canadienne : de la poudre aux yeux


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Les annonces de la ministre du Patrimoine, Mélanie Joly, au sujet de la nouvelle politique culturelle, mettent à risque l’ensemble de l’industrie culturelle et médiatique au pays. La Fédération nationale des communications (FNC–CSN) tient à exprimer sa profonde déception, en particulier au sujet de la non-taxation des géants du Web (Facebook, Google, etc.) et du soutien aux médias. Il est impossible pour la FNC de se réjouir de l’entente bilatérale de 500 millions de dollars avec Netflix. «Dans la réalité, celle-ci démontre une abdication d’imposer une fiscalité équitable. Le Canada renonce à appliquer les mêmes règles aux entreprises étrangères que celles imposées aux nôtres et brise une promesse électorale importante: lutter contre l’évasion fiscale», affirme la présidente de la FNC, Pascale St-Onge.

Taxer les Netflix de ce monde? La souveraineté culturelle canadienne est en jeu, affirme Simon Claus


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Il n’y aura pas de taxe sur les Netflix de ce monde, a-t-on indiqué dans l’entourage de la ministre du Patrimoine Mélanie Joly, qui doit dévoiler, le 28 septembre prochain, la nouvelle politique culturelle canadienne. Une quarantaine d’organismes québécois et canadiens des secteurs de la culture et des communications réclament que les grandes entreprises transnationales du numérique soient soumises aux mêmes règles que les entreprises d’ici. «Ce qui est en jeu dans ce débat, c’est la souveraineté culturelle canadienne, la pérennité des industries de la culture et des communications, qui ont toujours bénéficié de l’aide de l’État pour se développer, souligne le chargé de cours à l’École des médias et doctorant en communication Simon Claus.

NETFLIX : la ministre Mélanie Joly manque de courage selon le SCFP-Québec


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Alors que la ministre du Patrimoine, Mélanie Joly, était l’invitée, vendredi dernier, de la Chambre de commerce du Montréal Métropolitain (CCMM), le SCFP-Québec, par le biais de son Conseil provincial du secteur des communications (CPSC), demande pour une deuxième fois en moins de deux semaines que le gouvernement canadien et la ministre Joly fassent leurs devoirs et légifèrent pour forcer le fournisseur américain de programmation télévisuelle, Netflix, à participer à l’économie canadienne. Netflix, c’est un géant qui compte plus de 83 millions de membres dans 190 pays. Au Canada, cette entreprise compterait plus de 5,2 millions d’abonnés et aurait des revenus de plus de 620 millions de dollars.

NETFLIX : le SCFP demande au gouvernement fédéral de faire ses devoirs


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Le SCFP-Québec, par le biais de son Conseil provincial du secteur des communications (CPSC), exige que le gouvernement fédéral prenne ses responsabilités et qu’il légifère pour forcer le nouveau fournisseur de programmation télévisuelle Netflix à participer à l’économie canadienne. Cette entreprise américaine livre actuellement une concurrence déloyale aux entreprises québécoises et canadiennes. Pour le SCFP, le CRTC et la ministre du Patrimoine doivent combler le vide réglementaire qui favorise Netflix au détriment des entreprises et des travailleurs canadiens et québécois.

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