Maude Lecompte


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Photo : Nathalie St-Pierre

La thèse de doctorat de notre collègue enseignante en sociologie, Maude Lecompte, intitulée « Utilisation de Tinder : une étude exploratoire » est toujours d’actualité, d’autant plus que nous sortons tout juste de l’effervescence valentinesque; on accède à la thèse de madame Lecompte par ce lien et on peut lire un article d’Actualités UQAM, signé Pierre-Étienne Caza, paru le 14 février dernier, juste ici.

On y lit ainsi que « Sans surprise, il est attendu sur Tinder, dans un contexte hétérosexuel cisgenre, que ce soit les hommes qui fassent les premiers pas et qui amorcent la discussion, note Maude Lecompte. Et cela sert bien les femmes, même si cette posture n’est pas très proactive : elles laissent les hommes les courtiser parce qu’elles savent, et les hommes aussi, qu’elles sont plus sollicitées sur les applications de rencontre, y étant moins nombreuses. Elles possèdent donc une forme d’avantage stratégique. Pourquoi se forcer à approcher les hommes si elles sont plus sollicitées et que c’est à elles que revient la décision de poursuivre ou de mettre fin aux interactions? »