Vincent Brousseau-Pouliot, dans un éditorial de la Presse, paru le 13 février, nous rappelle que « La moitié des Inuits du Nunavik vivent dans un logement surpeuplé. Deux classes d’enfants de 13 ans n’ont pas eu de professeur de septembre à janvier. Les Inuits courent des risques 40 fois plus élevés de mourir d’un trauma. Parce que les Inuits vivent dans le Nord, on oublie malheureusement leurs enjeux sociaux et la piètre qualité des services publics qu’on leur offre. On ne devrait pas. » Les Inuits, un peuple oublié.