Les absences en cours: en rire ou en pleurer?


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Les personnes qui enseignent en études supérieures ont dû s’attrister ou rigoler de découragement à la lecture d’un article de Claude Malboeuf, paru dans la Presse du 12 septembre et qui fait partie d’un dossier intitulé «  Les cégépiens de plus en plus absents ». On y lit que « L’époque des cours en ligne obligatoires a beau être derrière nous, bon nombre de cégépiens persistent à se tenir à distance (…), se désole Yves de Repentigny, vice-président de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ). »

Il poursuit : « Plusieurs jeunes s’attendent à recevoir du matériel de rattrapage sur mesure ou un cours privé. Les études ne sont plus la priorité par rapport au travail et à la vie sociale, et cette insouciance s’est amplifiée avec la pandémie. » C’est de plus en plus la sombre réalité qui s’installe avec la vision clientéliste ayant cours dans les universités et pas seulement dans les cégeps. À lire; on en rit parfois, mais on s’en attriste aussi fondamentalement.