Le populisme antisyndical


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Dans sa chronique intitulée Le populisme économique primaire, Alain Dubuc accuse pêle-mêle les chefs des partis d’opposition (messieurs Péladeau et Legault) et les syndicats de ne pas contribuer positivement au débat entourant l’avenir de Bombardier. Attention! La lecture qu’il fait des évènements exige un rectificatif important. Comme le gouvernement Couillard, M. Dubuc pense que l’achat des avions n’aurait pas eu lieu si le gouvernement n’avait pas renoncé à la poursuite contre Air Canada au sujet des 1800 emplois d’entretien d’aéronefs de l’entreprise sous-traitante Aveos. En fin de compte, il s’agirait d’un mal pour un bien! C’est un point de vue que le président et le secrétaire général de la FTQ sont loin de partager.

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