La science en français est une nécessité


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Il y a plus de soixante-dix ans, l’Association francophone pour le savoir (Acfas) remettait le premier prix Léo Pariseau, en hommage à son premier président. C’était en 1944. Depuis, le gala a bien grandi, et le 22 octobre, c’est neuf éminents chercheurs qui se sont succédé sur la scène du parquet, dans les locaux de la Caisse de dépôt et placement du Québec, pour recevoir l’un des plus prestigieux prix dont un scientifique puisse rêver au Québec. «C’est fondamental de faire en sorte que la science puisse se vivre et se diffuser en français», croit la présidente de l’Acfas, Louise Dandurand.

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