La Journée internationale de la jeunesse est un moment opportun pour réfléchir sur le bien-être des jeunes. Le bien-être des garçons et des jeunes hommes est une préoccupation majeure pour les défenseurs de la jeunesse. En effet, beaucoup concluent que nous sommes au milieu d’une «crise des garçons», qui se manifeste dans divers domaines. Un de ces domaines est celui de l’éducation. Les jeunes hommes ne représentent plus que 40% des diplômés universitaires. De plus, le taux de décrochage scolaire des garçons du secondaire est presque deux fois plus élevé que celui des filles. Près d’un garçon canadien sur cinq ne termine pas l’école secondaire. Chez les Québécois francophones, ce taux grimpe de façon alarmante à un garçon sur trois.
Lire la suite du texte sur un blogue du Huffington Post.
Refus par l’U. Laval d’une bourse réservée aux garçons : un appel à la ministre.