Nouvelles du SPPEUQAM – 6 février 2025 ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏
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Entre vous et moi
Lorsque j'étais au Journal de Montréal, « l'heure de règlement » était 23h, c'est à dire au moment où les chefs de pupitre devaient déposer les pages qu'ils retenaient pour que le journal soit imprimé. Cela a été vrai jusqu'à ce que le fils remplace le père, fasse un Trump de lui-même et nous mette en lock-out pour plus de deux ans. À l'UQAM, ça fait deux fois qu'on règle à 5h du matin de la grève. Semble-t-il que c'est devenu « l'heure du règlement », laissant juste assez de temps aux enseignant.e.s et étudiant.e.s pour se rendre à leurs cours. C'est l'heure à laquelle j'avais mis mon cadran. Et sachant ce que le recteur Pallage pense du président américain, on ne court pas trop de risques qu'il fasse un Trump de lui-même. On se revoit à l'assemblée générale spéciale mardi prochain, le 11 février, pour prendre connaissance, discuter du contenu et se prononcer sur l’acceptation, ou le rejet de l'entente de principe sur nos conditions encadrant l'enseignement en ligne. Et par la suite, à la manifestion Délivrons-nous d'Amazon le samedi 15 février. À mardi et bonne lecture, Richard Bousquet Vice-président à l'info du SPPEUQAM
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Entente de principe : Assemblée générale spéciale le mardi 11 février à midi
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Atelier d’information sur la convention collective le lundi 17 février à 12h30
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Une séance d’information aura lieu le lundi 17 février, dès 12h30, au lieu social du Syndicat, A-R540, pour tous les membres intéressés à en savoir davantage sur divers aspects de notre convention collective. Le lunch sera fourni. On doit confirmer sa présence en écrivant à Amel Aloui. Comment fonctionne l’attribution de charge de cours? Comment dois-je remplir la demande de déclaration de statut d’emploi? Comment faire pour préserver mon lien d’emploi? Qu’est-ce que la probation? J’ai obtenu des EQE d’un autre département, que se passe-t-il maintenant? Cette séance est importante car elle se déroulera durant l’affichage principal des charges de cours, ayant lieu du 12 au 21 février, charge(s) de cours que nous donnerons (peut-être…) à l’été 2025. Les nouvelles personnes chargées de cours en apprendront ainsi beaucoup sur leurs droits. Tous les membres du Syndicat sont néanmoins les bienvenus, car certaines nouveautés issues de la dernière négociation seront abordées. Au plaisir de vous voir et d’échanger avec vous!
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Atelier d’information sur les projets d’acquisition d’EQE pour la stabilisation le 24 février
Une séance d’information aura lieu le lundi 24 février, dès 12 h 30, en présence au local du Syndicat, A-R540, pour les membres qui souhaitent en savoir davantage sur le dépôt de demande de financement afin d’obtenir de nouvelles exigences de qualification pour l’enseignement (EQE), dans le cadre de projet d’acquisition d’EQE pour la stabilisation. Un lunch sera servi. On confirme sa présence en écrivant à Benoit Coutu, agent de relation de travail. Ces demandes doivent être déposées lors de la procédure annuelle, du 8 au 13 mars, ce qui est impératif afin de pouvoir postuler à ces charges de stabilisation aux trimestres d’Été et d’Automne 2025 et à celui d’Hiver 2026. Ce processus d’acquisition d’EQE pour la stabilisation constitue un acquis historique de notre récente négociation de notre convention collective, en vigueur depuis le 22 décembre 2022. Toutes et tous les membres du Syndicat peuvent y participer. Au plaisir de vous voir et d’échanger avec vous!
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Séances d’information sur la procédure de reconnaissance d’EQE les 26 et 27 février
Deux séances d’information auront lieu en ligne le mercredi 26 février (voici le lien pour y accéder) et en présence au local du Syndicat, A-R540, le jeudi 27 février, dès 12 h 30, pour les membres qui désirent obtenir de nouvelles exigences de qualification pour l’enseignement (EQE). On y abordera, entre autres, la nouvelle possibilité issue de notre dernière négociation pour notre convention collective, soit de postuler sur des EQE d’autres unités académiques que celle(s) habituelle(s). Toutes et tous les membres du Syndicat peuvent y participer. On confirme sa présence en écrivant à Benoit Coutu, agent de relations de travail. Un lunch sera servi le 27 février. Au plaisir de vous voir et d’échanger avec vous!
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Chronique des relations de travail : Une parole qui n'a pas force de loi
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En tant que personne chargée de cours, nous sommes généralement à l’affut du moindre contrat qui peut nous aider à sortir de notre précarité. En discutant avec les différents membres de notre entourage universitaire, il n’est pas rare qu’on nous propose un cours ou qu’on nous fasse la promesse d’en obtenir un pour un prochain trimestre. L’offre peut venir d’un.e collègue professeur.e ou d’une direction de département avec laquelle nous entretenons une relation cordiale, voire d’un.e collègue chargé.e de cours qu’on apprécie. Mais à notre grand désarroi, on réalise par la suite que nous n’avons pas obtenu ledit cours. Ceci peut susciter chez nous divers sentiments : de l’incompréhension, du mépris ou de la méfiance. Pensant que nous nous sommes fait jouer un tour et que quelqu’un a une dette envers nous, nous appelons prestement le syndicat à notre rescousse, pensant qu’il va rétablir justice, faire respecter nos droits et nous rendre notre dû. Malheureusement, après une enquête de sa part, nous apprenons que l’attribution de l’activité académique s’est déroulée dans le respect de la convention collective et que personne ne nous doit rien, sauf peut-être des excuses de nous avoir induit.e.s en erreur. C’est que, voyez-vous, malgré les bonnes volontés affichées par les directions et les professeur.e.s, iels ne sont généralement pas au fait de notre convention collective et ignorent le détail des mécanismes d’attribution de cours. Il va sans dire qu’après avoir tant espéré, nous sommes bien déçu.e.s. Ce qui est à retenir ici est que la parole de la direction de département ou d’un.e professeur.e ne fait pas force de loi. Le réflexe à avoir lorsqu’on vous promet une charge de cours est de contre-vérifier avec la convention collective, dans ce cas-ci l’article 10, ainsi qu’avec le comité des agentes et agents de relations de travail (CAART). Iels seul.e.s pourront vous informer de la réalité de la situation, car les méandres administratifs de l’UQAM a ses raisons que même la raison ignore… Amel Aloui, Benoît Coutu, Jean-Baptiste Plouhinec, pour le Comité des agentes et agents de relations de travail (CAART)
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Vidéo de la FNEEQ à l'occasion de la Semaine des enseignant.es du 2 au 8 février
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Les étudiants en enseignement militent pour se syndiquer
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Le personnel scolaire du Nunavik au bout du rouleau
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Les employés de la Commission scolaire Kativik sont au bout du rouleau, rapporte Le Devoir. Leur convention collective est échue depuis près de deux ans et les négociations achoppent en vue de clore ce dossier. Pendant ce temps, les défis de rétention du personnel scolaire au Nunavik sont accentués par les conditions salariales et de travail plus intéressantes dont disposent depuis l’an dernier les employés du réseau œuvrant dans le sud de la province. Si une pénurie de personnel se fait sentir à l’échelle du Québec dans le réseau de l’éducation, elle est particulièrement aiguë au Nunavik, le tableau de bord du ministère de l’Éducation faisant état d’une cinquantaine de postes d’enseignants à pourvoir au sein de la Commission scolaire Kativik, soit 9,4 % d’entre eux. À l’échelle de la province, ce pourcentage s’élève à 1,9 %. Cette même commission scolaire faisait état, en date du 8 janvier, de 23,4 % de postes vacants pour le personnel de soutien, soit quatre fois plus que la moyenne provinciale (5,6 %). • Le personnel de l’éducation de Kativik manifeste devant le Conseil du trésor.
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Amazon : La CSN appelle au boycottage de la multinationale américaine
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Le CCMM appuie le boycott d'Amazon, les syndicats en conflit, le Mois de l'histoire des Noirs et le 8 mars
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Les membres du Conseil central du Montréal métropolitain (CCMM-CSN) ont adopté une résolution en assemblée générale la semaine dernière en appui aux travailleuses et travailleurs d’Amazon. Ils ont souligné et adopté une résolution en appui au Mois de l'histoire des Noirs. Les deux résolutions se trouvent ci-dessous. Ils ont invité les syndicats membres à appuyer les syndicats en conflit : le Syndicat des travailleurs de Demix Béton Provincial (CSN), le Syndicat des travailleuses(eurs) des centres de la petite enfance de Montréal et Laval – CSN et le Syndicat des travailleuses et travailleurs de l'Hôtel Reine Elizabeth - CSN. Ils ont finalement souligné que le 8 mars est une journée pour se rappeler de la fragilité de nos acquis en matière des droits des femmes, mais aussi de faire valoir l’importance de l’égalité entre les femmes et les hommes. Cette année, la Journée internationale des droits des femmes se déroulera sous le thème Encore en lutte en 2025 ! Ce thème souligne la persévérance pour défendre les droits des femmes et des personnes marginalisées face aux oppressions persistantes. La lutte inclut la justice climatique, l’égalité économique et la solidarité mondiale dans le cadre de la Marche mondiale des femmes.
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En action pour les victimes de violence conjugale
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« Lorsqu’on a adopté le nom du comité et du Réseau d’action féministe, on voulait mettre l’accent sur l’importance de la mobilisation », a dit la vice-présidente de la CSQ, Nadine Bédard-St-Pierre, lors de l’ouverture d’une rencontre du Réseau d’action féministe à Montréal, le 30 janvier 2025. Comme pour répondre à cet appel, une centaine de militantes et de personnes alliées se sont rassemblées dans les rues de Montréal pour exiger des mesures concrètes contre la violence conjugale. Avec des partenaires de l’Intersyndicale des femmes, la mobilisation avait pour but de réclamer l’ajout de 10 jours d’absence rémunérés pour les victimes de violence conjugale dans la Loi sur les normes du travail. Le rassemblement a traversé le centre-ville jusqu’au bureau du premier ministre François Legault, où des interventions ont mis en lumière l’urgence d’une telle mesure. « En 2024, il y a eu 25 féminicides. De ce nombre, 13 étaient liés à des cas de violence conjugale, a rappelé Nadine Bédard-St-Pierre. Ces 10 jours d’absence ne sont pas un luxe, mais une question de survie pour des milliers de travailleuses. Le ministre du Travail, Jean Boulet, nous dit qu’il a entendu et compris notre demande, maintenant, il serait temps qu’il agisse! »
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Tarifs de 25 % : Les travailleuses et les travailleurs devront être protégés
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Grève le 17 février dans les CPE : la pression monte sur le gouvernement
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Devant le refus du gouvernement d’agir pour contrer la pénurie et valoriser les emplois en CPE, la CSN annonce que la troisième journée de grève nationale aura lieu le 17 février. Les quelque 13 000 travailleuses affiliées à la CSN sont en grève jeudi partout au Québec dans plus de 400 CPE. Des rassemblements de quartiers se tiennent dans l’ensemble des régions. La pénurie de personnel frappe durement les CPE. Dans les derniers jours, aussi bien des travailleuses de CPE que des parents et des directions ont interpellé le gouvernement pour qu’il en fasse davantage pour valoriser les emplois dans le secteur. Alors que la négociation est une occasion à saisir pour bonifier les conditions de travail, le gouvernement avance à pas de tortue. La CSN, qui représente 80 % des CPE syndiqués, monte le ton en annonçant dès maintenant une troisième journée de grève, qui se tiendra à moins d’obtenir une entente de principe. La stratégie de négociation adoptée par le gouvernement a de lourdes conséquences aussi bien pour les familles que pour les travailleuses et les travailleurs. De son côté, la CSN propose plusieurs solutions ambitieuses pour assurer l’avenir du réseau, aussi bien pour améliorer les conditions de travail pour tous les titres d’emploi que pour agir pour les régions éloignées.
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Primes non versées : L’APTS dépose une plainte contre Santé Québec
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Le grand syndicat dans la santé et les services sociaux, APTS, vient de déposer une plainte devant le tribunal contre Santé Québec, en lien avec le retard dans le versement de plusieurs primes à des milliers de ses membres, rapporte La Presse canadienne. Du même souffle, l’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux (APTS) réclame que Santé Québec lui verse 100 000 $ à titre de dommages moraux et 100 000 $ à titre de dommages punitifs. Le litige a trait à des primes de soir, de nuit, de fin de semaine, de travail en psychiatrie, en soins critiques, de travail auprès de la clientèle présentant des troubles graves du comportement, par exemple, qui avaient été convenues lors de la dernière négociation pour le renouvellement des conventions collectives. La convention collective de l’APTS, qui représente 67 000 membres, est entrée en vigueur le 16 juin dernier, mais ces primes n’ont toujours pas été versées. Elles devaient l’être dans les 120 jours suivant la signature de la convention collective, soit le 5 octobre dernier.
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Monde social et de l'Éducation
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L’UQAR, première université québécoise à quitter X
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Mois de l'histoire des Noirs : ressources à partager
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À la veille du Mois de l’Histoire des Noirs, qui se déroule chaque année en février, voici quelques suggestions de ressources à partager : 1. Programmation des activités au Québec : Ateliers, concerts, conférences, contes, danse, expositions, films, gastronomie, humour, littérature, mode, musique, théâtre, spectacles, sport, webinaires, etc. 2. Outils d’apprentissage et d’information : Trousse sur l’histoire des Noirs au Québec, de la Commission des droits de la personne et de la jeunesse (CDPDJ). L’observatoire des communautés noires du Québec a recensé un bon nombre d’articles et d’études et a produit divers travaux et outils dont celui-ci : Tableau de bord sur les Noirs dans les organismes publics du Québec. 3. Organismes pour la défense des droits des communautés noires au Québec : Bureau de la communauté haïtienne de Montréal, Ligue des Noirs du Québec, Maison d’Haïti. Autre texte lié au même sujet : • « L’exercice de vérité est nécessaire » : quand les Noirs parlent de racisme et d’identité. • Cinq activités culturelles à faire pendant le Mois de l’histoire des Noirs.
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Suicides : Les fillettes et adolescentes affichent des données en hausse qui inquiètent
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Pour la première fois depuis la publication de telles statistiques, les jeunes filles de 10 à 14 ans enregistrent la proportion la plus élevée de suicides parmi toutes les causes de décès à cet âge, soit 25,8 %, une statistique inquiétante qui « pourrait s’agir davantage d’une variation ponctuelle plutôt que d’une tendance établie », écrit l’Institut national de santé publique du Québec. En 2022, 1142 suicides ont été recensés, tandis que les données préliminaires de 2023 indiquent jusqu’ici que 1005 décès sont attribuables à un suicide. C’est donc globalement un portrait de chiffres en baisse qui est brossé, ce qui semble encourageant. Sauf pour les jeunes filles. En cause : les neuf cas de suicides en 2022 chez les jeunes filles de 10 à 14 ans, « un chiffre supérieur aux quatre années précédentes », rapporte La Presse. L’INSPQ interprète cette hausse avec prudence, « le nombre de cas annuels dans ce groupe étant insuffisant » pour effectuer des analyses fiables au plan statistique. Mais ces 9 suicides s’ajoutent à « l’augmentation marquée des hospitalisations chez les jeunes filles et les adolescentes », ce qui emmène l’INSPQ à faire de cet état de fait « l’un de ses constats principaux ».
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L’école à la maison demeure populaire, au-delà de la pandémie
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Le nombre d’enfants québécois qui sont scolarisés à la maison a augmenté à un rythme beaucoup plus rapide que celui de la population étudiante en général au cours des dernières années. Les doléances de parents qui enseignent à leurs enfants à domicile sont aussi nombreuses à l’endroit du réseau scolaire, qui peine à répondre à leurs demandes en contexte de pénurie de main-d’œuvre. État des lieux. Après avoir atteint un sommet en 2020-2021, pendant la pandémie, le nombre d’élèves suivis en enseignement à la maison est en diminution depuis. Il s’établissait à 8104 en date du 27 décembre dernier, selon des données fournies par le ministère de l’Éducation à la suite d’une demande d’accès à l’information faite par Le Devoir. Ce nombre demeure néanmoins 63,12 % plus élevé que celui de 4968 observé lors de l’année scolaire 2018-2019. Pendant cette même période, le nombre total d’élèves au primaire et au secondaire, qui dépasse le million, a augmenté de 9,64 %, montrent des données tirées du tableau de bord du ministère de l’Éducation. Autres textes sur le même sujet : • Quand les ruptures de services mènent à l’école à la maison. • L’autorisation d’apprendre à la maison a été retirée à plus de 1000 élèves. • La mère a deux fois plus d’influence que le père sur la langue à laquelle un enfant est exposé.
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48 écoles torontoises de plus pourront offrir des repas gratuits
La Ville prévoit de dépenser 6 millions de dollars de plus dans son prochain budget pour étendre le programme de déjeuner gratuit dans les écoles. Cette annonce s’inscrit dans la foulée de la déclaration de l’état d’urgence alimentaire, une résolution adoptée en décembre par le conseil municipal. Ce financement va permettre d’offrir de la nourriture gratuite à 21 500 élèves de plus dans 48 écoles, a annoncé la mairesse Olivia Chow lors d’une visite la semaine dernière à Islington Middle School, qui a un tel programme, rapporte Radio-Canada. « Nous n’abandonnerons pas tant que chaque enfant, dans chaque école, n’aura pas accès à un repas en avant-midi d’ici 2026 », a affirmé Mme Chow, qui presse Ottawa et la province d'accroître leur contribution pour que le programme soit offert partout. La Ville, ajoute-t-elle, prend les devants parce que « ce n’est pas juste de dire à un enfant qui a faim d’attendre ».
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Si nous rêvions de la formation professionnelle?
Après plus de 45 ans à travailler en formation professionnelle, j’ai décidé de rêver la formation professionnelle plutôt que de me concentrer sur ce qui ne fonctionne pas, explique Henri Boudreault dans un texte publié par Le Devoir. Je veux laisser aller mon imagination pour penser à un avenir prometteur qui découlerait d’un présent visionnaire. La formation professionnelle est souvent victime d’une fâcheuse tendance à séparer les capacités d’un élève à apprendre avec sa tête ou avec ses mains. Lorsqu’un élève éprouve des difficultés à l’école, il est couramment orienté vers un métier de la formation professionnelle, en fonction des préalables exigés. Un élève m’a déjà confié un jour que ce n’est pas parce qu’il apprenait à partir d’un contexte plus pratique que cela faisait de lui une personne ayant des limitations. Apprendre un métier implique de se servir de sa tête, de ses mains et de son cœur. La tête pour comprendre, les mains pour faire, le cœur pour aimer ce que l’on fait.
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Violence conjugale : Québec veut un dispositif « grave danger » comme en France
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Prendre au sérieux les risques de l’IA
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Une bibliothèque passive, ça chauffe quoi en hiver?
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Avis aux architectes : la future bibliothèque de Villeray devra se conformer à la certification PassivHaus, qui repose sur le chauffage solaire. Cela en fera normalement le premier édifice de la Ville de Montréal à atteindre ce graal de l’efficacité énergétique. Selon les experts consultés par Le Devoir, cette exigence ne gonfle en rien la facture (déjà salée) du projet. Au contraire, elle participe peut-être à la réduire. Plus tôt ce mois-ci, la Ville de Montréal lançait un concours d’architecture pour une nouvelle bibliothèque remplaçant celle située dans le Patro Villeray, un centre communautaire de l’arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension. Le projet, disposant d’un budget de 42,5 millions de dollars, comporte aussi le réaménagement du parc Le Prévost. Le bâtiment devra satisfaire à la norme allemande PassivHaus, encore méconnue au Québec. Avec ses fenêtres orientées plein sud, un bâtiment « passif » s’abreuve de la lumière du soleil pour se chauffer en hiver. • La rénovation de la bibliothèque Le Prévost enfin en branle.
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La Presse en Espagne | Un monde de solutions : Pour une révolution verte… et juste
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Urgences au Québec : Le pire taux d’occupation des civières en cinq ans
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Crise de l’itinérance : Stations-refuges
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La section alimentée par et pour les membres du SPPEUQAM
La section Membres en action veut rendre compte de la contribution des membres du SPPEUQAM dans des événements (colloque, congrès, exposition, etc.), dans les médias, de celles et ceux qui publient un ouvrage ou qui soutiennent leur thèse. Si c'est votre cas, faites-nous le savoir… on n'a pas des yeux tout le tour de la tête. Faites connaître votre réalisation par courriel au Syndicat.
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Les applications de rencontre, un essai de Maude Lecompte
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Tinder, Bumble, Grindr, Fruitz et Happn: depuis près de 20 ans, les applications de rencontre se sont multipliées… et le phénomène est devenu un sujet de recherche légitime. Avec son essai Les applications de rencontre: révolution, lieu de perdition ou simple gadget?, la chargée de cours du Département de sexologie Maude Lecompte propose le fruit de réflexions entamées durant son parcours doctoral, poursuivies par la lecture et l’analyse d’articles scientifiques, de livres, d’articles de journaux, de mémoires de maîtrise et de thèses doctorales récents sur la question, peut-on lire dans Actualités UQAM. «Étudier les applications de rencontre scientifiquement, c’est se questionner sur notre rapport à l’amour, aux technologies, à nos pairs et bien plus encore», explique-t-elle, en insistant sur le fait que son ouvrage ne vise ni à défendre ni à pourfendre les applications de rencontre, mais à brosser un portrait de la situation actuelle… sans porter de jugement ni tenter de convaincre ou de décourager qui que ce soit de télécharger l’application de son choix. La première partie permet aux néophytes de se familiariser avec le sujet, tandis que la deuxième porte sur les inquiétudes que suscitent les rencontres numériques et les enjeux de discrimination. La chercheuse offre également un survol de l’avenir à partir de ce que l’on connaît aujourd’hui. Publié aux Presses de l’Université du Québec.
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Rafael Jacob soulève 5 aspects peu compris des tarifs de Trump
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Pour mieux saisir les forces en présence et les motivations derrière la guerre commerciale déclenchée par Donald Trump contre le Canada, le chargé de cours et chercheur associé à la Chaire Raoul-Dandurand Rafael Jacob publie un texte dans L'actualité sur cinq aspects peu compris ders tarifs de Trump. Pour mettre en contexte les chances de réussite ou les probabilités d’échec des contre-mesures canadiennes face à la déclaration de guerre commerciale contre le Canada et le Mexique venue de Washington, il faut s’attarder à certains aspects. Le Canada, le Mexique, la Chine ou toute autre prochaine victime des tarifs douaniers de Trump pourront faire valoir leur cause devant les tribunaux commerciaux au cours des prochains mois, à l’Organisation mondiale du commerce ou encore avec les outils de règlements des différends prévus dans l’Accord Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM). Mais il reste que dans le système américain, Donald Trump a parfaitement le droit d’imposer unilatéralement ce genre de décrets. Autres interventions médiatiques de Rafael Jacob : • Quand on parle de nazis : lot de la majorité des présidents américains depuis les années 1950. • Tarifs américains : que se passera-t-il dans 30 jours? Panel au Téléjournal de Radio-Canada.
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Steve Ambler : The Bank of Canada was right to cut rates again
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