Florent Michelot se penche sur «l’économie du partage» : Uber ou l’encéphalogramme législatif plat


Classé dans : Membres en action | 0

Trois jours après le dépôt du projet de loi 100 par le ministre des Transports, Jacques Daoust, qui, en pratique, revient à interdire Uber, les militants du PLQ ont forcé le premier ministre et son gouvernement à un curieux rétropédalage, soutient le chargé de cours en sciences politiques Florent Michelot. En clôture du conseil général du parti Philippe Couillard a annoncé un «chantier sur l’économie du partage». Uber et tant d’autres compagnies qui ont émergé ces dernières années autour du Web participatif ont contribué à structurer une économie souterraine. Ainsi, le phénomène a permis à des entreprises de s’engouffrer, au nez et à la barbe de la puissance publique, dans des champs d’activités souvent hyper réglementés.

Lire la suite du texte d’opinion publié dans Le Devoir.