Dans son livre Nous ne sommes plus seuls au monde, le professeur à l’Institut politique de Paris Bertrand Badie déconstruit une vision du monde qu’il trouve dépassée, établie depuis la chute du mur de Berlin, en 1989. Il s’inquiète du maintien d’un occidentalocentrisme dans les relations internationales. La chargée de cours au Département de science politique Élisabeth Vallet explique sa pensée, différente de celle de la plupart des historiens, à Radio-Canada. La politicologue commente également le positionnement des frères Koch pour Le Figaro.