Les compressions exigées pour l’ensemble du réseau universitaire s’élèveraient non pas à 172 millions $ tel que rapporté lundi par Le Soleil, mais à plus de 300 millions $ pour 2014-2015, selon les calculs de l’Université de Montréal. Les chiffres officiels du ministère de l’Enseignement supérieur, que l’on retrouve dans les orientations budgétaires transmises aux universités, sont contestés par certaines universités.
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Les universités redoutent l’impact des compressions
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