« Il est assez ironique de voir que l’employeur n’a pas hésité une seconde à demander des injonctions pour limiter le piquetage pendant son lock-out, pendant qu’il faisait entrer des scabs dans l’entrepôt en bafouant ainsi le Code du travail », soutient Audrey Benoît, présidente du Syndicat des travailleurs et travailleuses de l’entrepôt Pharmacie Jean Coutu–CSN.