Le progrès dans les pays en développement ne s’accomplira que si le sort des petites filles y est amélioré de manière significative. Tel est le message contenu dans le rapport sur l’état de la population mondiale déposé jeudi, à Londres, par le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA). La violation des droits fondamentaux des petites filles dans le monde, et de manière encore plus critique dans les pays défavorisés, est un drame non seulement pour ces fillettes, mais pour les sociétés dans lesquelles elles grandissent, dit le rapport. Car il ne peut y avoir de réelle prospérité sans éducation. Et, comme l’estime le fonds onusien, «les pays en développement, où vivent 90 % des filles de 10 ans, engrangeraient un « dividende » de 21 milliards de dollars par an» si ces fillettes achevaient toutes leurs études secondaires.
Lire la suite du texte de Radio-Canada avec Agence France-Presse.