La culture du viol et les filles en série


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« Choses à prendre. Culture du viol et filles en série. » C’était le titre troublant d’une conférence prononcée la semaine dernière à l’UQAM par Martine Delvaux, auteure de l’excellent essai Les filles en série, qui s’intéresse à la « chosification » des corps féminins. Quand on parle de « culture du viol », de quoi parle-t-on au juste? On parle d’une culture qui ne dit pas son nom, explique Martine Delvaux. Une culture qui, tout en permettant le viol, en minimise toujours la réalité. Une culture qui conçoit les femmes comme des biens à consommer, qui banalise les violences sexuelles, les encourage et accuse ensuite les femmes d’en être responsables, de mentir ou d’y prendre plaisir.

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