Le cercle vicieux de l’itinérance


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Non seulement, le phénomène de l’itinérance est en croissance à Montréal, mais il a tendance à sortir de plus en plus des limites du centre-ville, témoigne un rapport du Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) publié jeudi. Intitulé, L’itinérance à Montréal – au delà des chiffres, le rapport donne un aperçu global d’un phénomène complexe. État de lieux en cinq enjeux étroitement imbriqués.

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Les besoins des quartiers toujours oubliés.
Entrevue du coordonnateur du RAPSIM à Gravel le matin.