Des travailleurs de la santé québécois et des politiciens s’attendent à ce que le nouveau gouvernement libéral à Ottawa approuve l’implantation de centres d’injection supervisée à Montréal, qui serait la deuxième ville au pays à héberger ces emplacements controversés. Certains autres s’inquiètent cependant des effets d’une loi stricte adoptée par l’ancien gouvernement conservateur qui force les exploitants de lieux à naviguer dans des dédales législatifs qui visaient à dissuader les intervenants d’offrir de tels services, selon eux.
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