Suite à la suspension temporaire, mais non moins dommageable, d’une professeure à temps partiel (i.e. chargée de cours) pour avoir utilisé le mot en « N » qu’on prétend ne pas pouvoir prononcer, même dans un cadre académique, plusieurs voix se sont élevées pour défendre la liberté académique, sans rien concéder aux principes humanistes, antiracistes et critiques qui doivent guider notre enseignement.
Comme il l’est spécifié dans cette infolettre, sous la rubrique SPPEUQAM, la dernière Assemblée générale du SPPEUQAM a pris position à ce sujet, mais il est également très pertinent d’entendre la perspective de l’APTPUO, directement impliquée dans le conflit, qui touche, rappelons-le une de nos membres.