Il ne fait plus -20 degrés et la neige a fondu, mais vivre dans la rue n’est pas pour autant devenu agréable. L’itinérance reste un problème 365 jours par année. Au-delà des effusions de générosité à Noël, en fait-on assez? Une année après la nomination du premier Protecteur des itinérants de Montréal, un bilan s’impose. On commence enfin à trouver des élus de bonne foi pour épauler les intervenants sur le terrain. On dépense un peu plus et un peu mieux, mais le travail à faire reste énorme. En fait, il commence à peine.
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