La vice-présidente, responsable du regroupement université, Christine Gauthier, a récemment rédigé un texte sur le clientélisme en études supérieures, un des effets pervers du sous-financement des universités. On retrouve ce texte sur le site Internet de la FNEEQ-CSN, notre fédération nationale, sous le titre « Rentrée universitaire : cassons le modèle de l’utilisateur-payeur ». Trop souvent, les enseignantes et les enseignants font face à des clients de l’université qui en veulent pour leur argent. Mais si l’université était plus accessible pour toutes et tous, gratuite, sans frais de toutes sortes, et que le gouvernement faisait de l’éducation une véritable priorité et non un slogan… N’est-ce pas là un des fondements de la démocratisation de l’enseignement?