La journaliste Marie-Ève Morasse signait un article dans la Presse du 15 juin au sujet de trois programmes universitaires menant au brevet d’enseignement qui avait été approuvé par le ministère de l’Éducation, sans attendre l’avis d’un comité d’experts (le CAPFE, pour Comité d’agrément des programmes de formation à l’enseignement) chargé de leur qualité. Or, « sur le site Internet du ministère de l’Éducation, il est bel et bien indiqué que c’est ce comité qui recommande au ministre de désigner les programmes agréés, parmi ceux qui donnent accès à l’autorisation légale d’enseigner au Québec ».