Docteur en science politique, spécialiste en relations internationales à l’UQAM, notre collègue, Chalmers Larose, écrit dans un texte paru à la fin août dans The conversation que « l’élan de solidarité internationale envers Haïti ne débouche pas sur des résultats tangibles sur le moyen et long terme. Quatre facteurs, entre autres, expliquent une telle situation : les leçons de l’expérience du tremblement de terre de 2010; la faiblesse de l’État haïtien et l’instabilité interne chronique; l’absence de coordination et de gouvernance de l’action humanitaire internationale et locale; la nature de la politique mondiale. »
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