La cheffe d’antenne au Service des nouvelles de Radio-Canada a quitté son travail dans des conditions nébuleuses et son syndicat la défend. On peut lire l’article du Devoir, signé Amélie Pineda, ce 19 août, qui fait état de l’appui du Syndicat des travailleuses et travailleurs de Radio-Canada qui a « confirmé qu’un grief a été déposé concernant la sanction imposée à Pascale Nadeau. « Ce que l’employeur allègue pour justifier la sanction ne tient pas la route, c’est exagéré pour quelqu’un qui n’avait aucune tache à son dossier », mentionne le président du syndicat, Pierre Tousignant. Selon ses informations, Mme Nadeau n’a jamais été avisée de ce qu’elle a pu faire d’offensant ou blessant.
Vous pouvez également lire la lettre ouverte de Pascale Nadeau initialement publiée dans Le Soleil et reprise ensuite dans l’édition du 18 août de La Presse. Dans cette lettre ouverte, elle mentionne en outre que son « employeur, sans aucun avertissement et sans même demander à me parler, a accueilli une dénonciation anonyme à mon endroit. Une dénonciation anonyme faite au nom d’une tierce personne et qui s’est avérée être un ramassis d’allégations mensongères ou citées totalement hors contexte. »