Marie-Ève Maillé est chercheure à l’Institut de sciences de l’environnement, chargée de cours et spécialiste de l’évaluation des conséquences sociales et de l’acceptabilité sociale des grands projets. Elle est d’avis que les grands projets comme celui de GNL « font des gagnants et des perdants. Et peu importe l’issue, ça risque de créer des divisions chez les citoyens, et donc d’affecter le tissu social et la santé de tous ». À lire dans Le Devoir.