Un an après l’élection de Donald Trump, l’onde de choc est palpable pour les universitaires américains invités par l’Observatoire des États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques. Les limites au pouvoir du président existent dans la mesure où des gens veulent les faire respecter. Le contre-pouvoir judiciaire est déjà bien actif, remarque le chargé de cours en Sciences juridiques Olivier Barsalou. «Il y a quelques semaines, le procureur général de la Californie a contesté le projet de mur», dit-il. Quant aux nominations judiciaires de Trump, elles auront un effet encore inconnu, mais qui durera des générations, a-t-il expliqué à LaPresse+.