Tout un tour de force que réalise l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) à Québec. Près de 60% des étudiants de cette université de deuxième et de troisième cycles proviennent d’une quarantaine de pays. Ces étudiants étrangers apprécient tellement la qualité de la vie dans la capitale que 50% des finissants décident d’y établir leurs pénates à la fin de leur parcours académique, signale le recteur par intérim Claude Arbour. Un exploit étant donné que le taux de rétention des étudiants étrangers au Québec est d’à peine 25%.
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