Les professeurs de l’Université de Sherbrooke inquiets pour leur droit de parole : l’usage que fait l’université du code du travail en préoccupe plus d’un


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Le Code du travail est-il invoqué abusivement par l’Université de Sherbrooke afin d’empêcher ses professeurs de parler ? Alors qu’ils sont en grève depuis neuf jours, les professeurs estiment en tout cas être l’objet d’une vision à tout le moins étroite du Code du travail de la part de la direction de leur université. La professeure Geneviève Paquette de la Faculté d’éducation s’est vu confirmer lundi par la direction de l’université qu’elle n’était pas autorisée à se présenter aux travaux du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur à l’occasion d’une des quatre journées de réflexion sur les violences à caractère sexuel sur les campus du Québec. Le syndicat des professeurs raconte aussi avoir reçu une lettre qui laisse planer la menace d’un recours judiciaire de la direction à son endroit au motif que deux professeurs de la Faculté de droit ont accepté vendredi dernier, à la demande de l’Association générale des étudiants de cette faculté, de répondre aux questions des étudiants lors de leur assemblée générale à propos de la grève.

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Réflexion autour des violences sexuelles à l’Université de Sherbrooke.