La première idée défendue par les apôtres des baisses d’impôt des sociétés serait qu’il y aurait un lien direct avec le réinvestissement et la bonification des salaires de leurs employées et employés. Au cours des 10 dernières années, les entreprises québécoises ont vu leur taux effectif marginal sur l’investissement (TEMI) baisser d’un peu plus de 20 points de pourcentage. Il n’y a pas plus eu de réinvestissement dans l’économie ou de hausse directe des revenus des employés du secteur privé.
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