Pendant que l’opposition à l’austérité bat son plein au Québec, dans le secteur public comme dans les groupes communautaires, la première conférence internationale sur la concurrence fiscale, TaxCoop, avait récemment lieu, à Montréal. Le fiscaliste Luc Godbout y a fait le «portrait d’une fiscalité québécoise adaptée au Québec du 21e siècle», un portrait qui reprenait les grandes lignes du rapport de la Commission sur l’avenir de la fiscalité québécoise, qu’il présidait l’an dernier: baisser les impôts et hausser la TVQ et les tarifs (électricité, services de garde…). Mme Becker, de l’Académie fédérale des finances à Berlin, a plutôt affirmé avec force qu’il faut éviter à tout prix de reporter la fiscalité sur le travail, la consommation et la propriété, car les impôts sur le revenu, pour les entreprises et les particuliers, continuent d’avoir un rôle important à jouer.
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