Les futurs enseignants sont optimistes quant à leurs capacités d’enseigner la grammaire, selon une étude de l’UQAM. Et ce, malgré des recherches récentes montrant que les instituteurs du primaire et du secondaire n’enseignent toujours pas correctement la nouvelle grammaire, introduite voilà 10 à 15 ans au Québec. « Les étudiants en enseignement sont très positifs quant à leur rapport à la grammaire, et ils sont encore plus positifs quand ils pensent à la manière dont ils vont l’apprendre à leurs futurs élèves », explique Isabelle Gauvin, une professeure en sciences de l’éducation qui présentait ses résultats préliminaires au congrès de l’ACFAS.
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