Le sous-financement et les sources financières dictent l’évolution de la recherche


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Les paramètres de financement imposés par les organismes subventionnaires dictent plus que jamais l’évolution de la recherche universitaire, a souligné le doyen de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université Laval, Marcel Monette, lors de son allocution mardi au 82e congrès de l’ACFAS. Et qui dit financement dit aussi manque de financement, ce qui n’est pas sans conséquence. « Le manque de financement se fait ressentir. Et c’est clair notamment du côté du Conseil de recherches en sciences humaines. Chaque année, ce sont autour de 20 % des demandes qui reçoivent du financement », a précisé le doyen. La création du réseau de l’Université du Québec a également été un vecteur de changement majeur sur le plan de l’évolution de la recherche. « L’implantation d’un tel réseau a fait augmenter beaucoup le nombre de chercheurs et de doctorants », a reconnu M. Monette, en rappelant que présentement, 22 % des étudiants inscrits au doctorat dans les universités francophones de la province le sont dans le réseau de l’UQ.

Lire la suite du texte du Devoir.